La protection de la planète nous oblige désormais à réduire, voire interdire l’utilisation des pesticides, fongicides et herbicides.
Les subventions aux communes ne seront plus accordées que sous réserve d’un engagement de celles-ci, de ne plus utiliser des produits toxiques qui s’infiltrent et polluent les nappes phréatiques et les rivières.
Il faut bien se rendre à l’évidence, nous ne pouvons plus continuer à polluer sans scrupules et laisser les générations futures se débrouiller du problème.
Nous avions déjà commencé à réduire très sensiblement l’usage de produits nocifs, nous allons poursuivre dans cette voie en essayant de trouver des moyens ou des produits de substitution, jusqu’à l’objectif zéro-phyto.
Cela nécessitera une participation active de l’ensemble des administrés, qui seront amenés, comme la loi le prévoit, à entretenir les trottoirs ou les bas-côtés devant leur propriété, mais également à admettre que tout le territoire de la commune ne sera peut-être plus aussi « clean » qu’aujourd’hui.